Sabrina Salomon

Phytothérapie

La vitamine D

Vitamine essentielle son rôle été mis en avant dans la protection face à la pandémie de Cov-19.

Mais elle sert à quoi ?

  • Elle joue un rôle dans le processus de division cellulaire et soutient le système immunitaire en activant des globules blancs (lymphocytes T) nécessaires pour fabriquer des anticorps et détruire les microbes.
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  • vitale pour le développement de la masse osseuse, le fonctionnement musculaire et la minéralisation des dents .
  • Elle joue un rôle essentielle dans l’absorption et  l’utilisation optimale du calcium et du phosphore.
  • Elle régularise le taux de calcium sanguin en améliorant l’absorption intestinale de ce minéral, tout en minimisant son élimination par l’urine.
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  • La vitamine D3 joue un rôle dans la prévention de certains cancers. Une équipe de chercheurs scandinaves à confirmer à un niveau moléculaire qu’elle diminue le risque de survenue du cancer du colon en agissant sur la prolifération des cellules cancéreuses.
  • Sa carence serait un facteur de développement de pathologies neurodégénératifs comme Alzheimer ou Parkinson. Une étude autrichienne indique que les douleurs chroniques de la fibromyalgie pourraient être atténuées par une supplémentation en vitamine D 
  • La vitamine D3 ou cholécalciférol est une vitamine liposoluble qui est synthétisée au niveau de la peau par l’action des ultra-violets du soleil  sur le cholestérol.
  • Protectrice des effets néfastes du soleil sur la peau,

La professeure de gérontologie (Trinity College Dublin, Irlande), est co-autrice d’un article détaillant une corrélation inverse entre taux de vitamine D et mortalité par Covid-19 dans les pays européens.

Plus de 80% des français âges  de 18 à 74 ans et plus de 95% des enfants sont déficients en vitamine D. (statut  en vitamine D de la population française/étude ENNS 2006-2007; Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire de l’Institut de Veille Sanitaire-24/04/2012)

Dans l’alimentation, on en trouve surtout dans les poissons gras : foie de morue et son huile, harengs fumés, maquereaux, sardines, anchois…

En complément alimentaire, il faut choisir de préférence une vitamine naturelle.

  • Sous forme de lanoline( graisse de mouton) , mais on doit utiliser des solvants pour l’extraire. 
  • Un lichen de bouleau (Cladonia Rangifermia) , récolté dans des milieux sauvages préservés  (Canada, Irlande, Scandinavie) et extraite sans produit toxique. Compatible et hautement assimilable par l’organisme humain et convient avec tous les régimes ( végétarien et végétalien).

Sources :

Dr F. Wepner, revue médicale PAIN/Dr Rose Anne Kenny, Medscape Medical News.

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Soleil beauté et protection de la peau

  • L‘Huile de  Dunaliella salina  riche en vitamine A aide à préparer la peau au soleil, prolonge le bronzage naturel, nourrit en  protégeant  peau et muqueuses .
  • Son action antioxydante combat la formation des radicaux libres, freine le vieillissement cellulaire et renforce la vision.
  • Optimise naturellement les défenses de l’organisme en favorisant l’absorption du fer
  • Cette algue verte des milieux  hyper salins se caractérise par sa richesse en ß-carotène  ou pro-vitamine A et en glycérol.

Pour bien  préparer sa peau au  soleil:  Huile de Dunaliella

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Le Collagène : Protéine “anti-age” de l’organisme

La production de collagène dans l’organisme diminue avec le temps, entraînant un manque d’hydratation et un relâchement de la peau.

L’age, le stress oxydatif, les erreurs alimentaires,le tabac et l’alcool, sont autant de facteurs qui contribuent à une diminution de la production du collagène. Allié anti-age , le collagène marin  utilisé comme ingrédients dans les cosmétiques.

Pris sous forme de complément alimentaire, il est une alternative intéressante pour relancer le renouvellement cellulaire de  l’organisme et éviter le vieillissement prématuré de tout le corps.

Le collagène est la protéine la plus abondante du corps humain. Il joue un rôle de structure dans les tissus de soutien (tendons, ligaments, os). De plus, il participe à la santé de la peau en lui apportant de la rigidité. Ainsi, une peau jeune contient jusqu’à 80% de collagène (type I). Avec l’âge, la faculté de renouveler le collagène diminue en moyenne de 1,5% par année. Cette perte de collagène est à l’origine du vieillissement de la peau. Ainsi, la peau perd son élasticité et s’affine.

Le collagène marin va entretenir le squelette,  renforcer la mobilité articulaire et améliorer la souplesse des articulations en relançant la formation du cartilage et des os. Fortement conseiller en cas de lésions , de cicatrisation ou d’inflammation des tissus de soutien (tendinites chroniques ou non). Par cure, associé à la vitamine D ( voir l’article à ce sujet) il est très adapté en prévention de l’arthrose et dans les cas d’activités sportives intenses.

Idéal, pour préserver l’hydratation optimale , l’éclat de la peau et la souplesse. Surtout en cas de peau sèche, ou il va la protéger contre les UV, freinant ainsi  le vieillissement prématuré .

En renforçant la fermeté et l’élasticité de la peau, on favorise la réduction de rides et de ridules.

 

Choisir de préférence un collagène  marin hydrolysé et purifié (extrait enzymatique de peaux de poissons sélectionnés).

 

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mer

La richesse de l’eau de mer

Les bienfaits de l’eau de mer ne sont plus à démontrer : contenant tous les minéraux et oligo-éléments essentiels sous une forme hautement assimilable. L’eau de mer, véritable plasma Marin  va renforcer , recharger l’organisme et booster le système immunitaire.

Les cures pouvant se faire toute l’année, sous forme d’ampoules buvables. Et en version plaisir, manger des huîtres et boire la seconde eau.

C’est le traitement idéal et naturel pour compenser les pertes de minéraux et oligo-éléments lors d’activités sportives.

 Parfaitement assimilable pour aider à freiner les déshydratations lors d’épisodes de selles liquides et les fortes chaleurs.

Participant à l’équilibre acido-basique de l’organisme, l’eau de mer  en reminéralisant le corps va freiner l’acidose.

La présence de minéraux et d’oligo-éléments essentiels participent au bon fonctionnement métabolique de l’organisme.

En tant que cofacteurs, ils jouent un rôle primordial dans de multiples réactions enzymatiques et hormonales (zinc – insuline).

La concentration physiologique en sels dissous permet à tous le monde  d’en bénéficier même en cas d’hypertension, d’insuffisance rénale ou de problèmes cardiaques.

L’utilisation de l’eau de mer  à des fins thérapeutiques trouve ses origines avec les travaux  de René QUINTON, célèbre savant naturaliste et biologiste français a démontré au début du XXème siècle que l’Homme avait conservé les stigmates de ses origines marines !

La composition physico-chimique de l’eau des océans partage de nombreuses similitudes avec celle du plasma sanguin (fraction liquide du sang). de nombreuses études et analyses confirment cette identité minérale du milieu vital (plasma humain) et du milieu marin originel.

Sur base de ces similitudes de composition, René QUINTON formula “la loi de constance naturelle” selon laquelle « La vie animale, apparue à l’état de cellule dans les mers, a maintenu, à travers toute la série zoologique, les cellules composant chaque organisme dans un milieu marin ».
Sur base de ce principe, René Quinton démontra les bienfaits de l’eau de mer sur la santé humaine en contribuant à l’éradication des fléaux sanitaires du début du XXème siècle (choléra, épidémies gastro-intestinales,…).

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L’hivers est parfois difficile et long à passer..

10 astuces  pour vous aider à vivre naturellement, dans la bonne humeur les mois les plus froids de l’année. Sommeil, alimentation, mouvement et plaisir… Le secret est dans l’hygiène de vie !

1. Je dors suffisamment pour ne pas accumuler de sommeil en retard.

2.J’équilibre mes repas tout au long de la journée.

Je prends un vrai petit-déjeuner pour entamer la journée avec suffisamment d’énergie (laitage, céréales, fruit ou jus de fruits frais, boisson chaude). Je ne saute pas de repas et je mange à heures régulières. Le soir, je prévois plutôt un repas léger pour un sommeil réparateur.

3. Je mets de l’énergie dans mon assiette, privilégiant les sucres lents qui libèrent leur énergie de façon progressive : pain, céréales et féculents. Les légumes secs riches en protéines végétales, fibres, magnésium…

4. Je me fais plaisir en variant mes plats.

Inutile de manger davantage ou différemment en hiver si je n’ai pas d’activité physique particulière, ou si je mène une vie sédentaire. En revanche, les personnes qui sont souvent dehors (travail en extérieur, sportifs, enfants) voient leurs besoins énergétiques augmenter pour lutter contre le froid.

5. Je bois régulièrement…

Même si j’ai plutôt moins soif en hiver. Certains chauffages ou systèmes de climatisation augmentent nos pertes en eau favorisant la déshydratation. Comme tout au long de l’année, je continue à boire au moins 1,5 litre d’eau par jour. Je pense aux tisanes, soupes, jus de fruits frais… En revanche, j’évite les sodas souvent trop caloriques, et je limite ma dose quotidienne de café et de thé.

6. Je prends soin de ma peau.

La peau est très sensible aux conditions climatiques extrêmes ainsi qu’aux brusques écarts de température (lorsque l’on  rentre dans une pièce chauffée en arrivant du froid par exemple). Elle se déshydrate, rougit, couperose et tiraille plus facilement. Vive les crèmes « doudounes » pour choyer les peaux sèches, les masques apaisants ou hydratants selon les besoins. Je ne néglige pas non plus les soins du corps : hydratation obligatoire sur l’ensemble du corps, et en particulier sur les jambes.

7. Je bouge, je bouge : 1, 2, 3, partez !

Malgré le froid, je ne renonce pas à mon activité physique hebdomadaire : c’est dur au début, mais je me sens tellement mieux après ! Si possible, j’opte pour une activité à pratiquer à deux pour être plus motivé. Natation, jogging, stretching, vélo… A choisir selon mes goûts, l’important étant de m’y tenir. Ou encore : une demi-heure de marche tous les jours, c’est aussi bien.

8. Je prends du temps pour moi.

Un bain chaud, une séance soin du corps, une pause lecture, une sortie au cinéma, une soirée « cocooning » à « buller » sans complexe dans le canapé… Même si mon emploi du temps est surchargé, je m’accorde quelques moments de liberté et je me fais plaisir sans culpabiliser.

9. Je respire et je reste zen quoi qu’il arrive!

En période de stress, quand je suis débordé, au travail, à la maison, dans les embouteillages en voiture ou dans le métro : j’arrête de courir, je m’assois et je respire plusieurs fois en ne pensant à rien d’autre. J’apprends à me calmer dès que le besoin s’en fait sentir.

10. Je fais le plein de vitamines et minéraux.

Les vitamines sont les grandes alliées de notre bonne santé. La vitamine C notamment renforce nos défenses immunitaires, et nous aide à lutter contre les agressions microbiennes. Je profite donc des fruits et légumes de saison : agrumes (oranges, clémentines…), kiwis, litchis, poires, pommes. Côté légumes, les plus riches en vitamine C sont les choux et choux de Bruxelles, poivrons, persil, cresson, brocolis. Sans négliger les fruits secs (noix, noisettes, amandes…), riches en vitamines E et B, ainsi qu’en magnésium (idéal pour le tonus et pour le moral).

 

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Comment renforcer son système Immunitaire ?

 

Comment renforcer le système immunitaire avec une alimentation saine, biologique et des soins énergétiques de magnétisme.

Le système immunitaire défend notre organisme, notamment contre les agressions extérieures . Il est donc, essentiel de renforcer. Pour cela, il existe des solutions naturelles en adoptant une alimentation saine, biologique et renforcées par des techniques de soin énergétiques :

L’intestin est le premier organe de défense.

Un bon microbiote permet de maintenir les défenses immunitaires. Nos bactéries sont sélectionnées et prolifèrent en fonction de notre alimentation.

Privilégiez les aliments fermentés : comme le kéfir, le miso, le tempeh, la choucroute, les pickles, kvas ou le kimchi coréen. Ces bactéries vont proliférer grâce aux prébiotiques, que l’on retrouve en majorité dans les fruits et les légumes.

Ils apporteront également des oligo-éléments comme la vitamine C.

La vitamine C

La carence en vitamine C figure parmi les causes de l’affaiblissement du système immunitaire. Puisqu’elle n’est pas synthétisée par l’organisme, elle doit être apportée par l’alimentation. Consommez sous forme de jus, cuisinez crus ou cuit.

  • Les fruits : les agrumes, l’acérola, kiwi, fraises, cassis, goyave
  • Les légumes : les crucifères, persil, navet, épinards, poivrons, le brocoli.

Cliquez Pour en savoir plus sur la vitamine C

 

Les épices et les aromates

Le curcuma, le gingembre, le ginseng, le clou de girofle,  la maca, la cannelle, l’ail, l’oignon, le persil, le thym, l’origan stimulent l’immunité.

Les baies de Goji

Les médecines traditionnelles chinoise, tibétaine et ayurvédique le préconisent pour son activité sur le foie, la vision, le système immunitaire, le système cardio-vasculaire.

Les champignons

Le shitaké, maïtaké et reishi, champignons de la pharmacopée asiatique. Ils nous aident à nous adapter au stress psychologique et environnemental, à renforcer notre système immunitaire, à combattre les attaques de germes et à mieux résister aux épidémies pendant la mauvaise saison. Il faut les consommer cuit impérativement.

Les plantes en phytothérapie :

L’extrait de pépins de pamplemousse est très efficaces contre les bactéries, les virus et les champignons sans mettre à mal votre flore intestinale. L’éleuthérocoque, le cyprès, l’astragale, la rhodiole et l’échinacée vont elles renforcer votre système immunitaire.

Ne pas prendre sans avis médical en cas de maladie auto-immune

Les produits de la ruche

La propolis est un enduit dont les abeilles se servent pour recouvrir toutes les surfaces intérieures de la ruche afin d’en assurer la solidité et de la protéger contre les invasions microbiennes ou fongiques.

La gelée Royale fraîche, riche en nutriments, régule les problèmes de métabolisme, revitalise les fonctions physiologiques et renforce le système immunitaire.

La vitamine D : on connait son importance pour consolider les os. Mais, elle permet aussi de renforcer le système immunitaire. L’exposition au soleil favorise la production de vitamine D pendant l’été. Mais, durant la période d’octobre à avril, il est conseillé de compléter ses besoins en vitamine D grâce à un apport naturel.

Cliquez pour en savoir plus : sur la vitamine D

On en trouve dans les poissons gras : foie de morue et son huile, harengs fumés, maquereaux, sardines, anchois

 

Les huiles essentielles :

les grands classiques: Tea Tree, la Revissera, laurier noble, cannelle de Chine  (on l’appelle « L’Attila » de l’aromathérapie) sont d’excellents remparts aux attaques virales…

Les femmes enceintes ou allaitantes, les enfants de moins de 12 ans ne prendront pas d’huile essentielle , sans avis spécialisé.

Une consultation avec un bilan naturopathique afin de vous aider à retrouver un équilibre physique et psychologique.

Les soins énergétiques visant à renforcer le système immunitaire : revitalisation magnétique, recharge énergétique et rééquilibrage de la physiologie lors d’une séance de magnétisme. 

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La vitamine C : Pourquoi est-elle indispensable ?

La vitamine C, ou acide ascorbique, est une vitamine hydrosoluble présente en grande quantité dans l’organisme. Celui-ci ne sachant ni la synthétiser, ni la stocker, il est primordial d’en apporter suffisamment au quotidien pour rester en bonne santé. La vitamine C, surtout connue pour son pouvoir antioxydant, a de très nombreux rôles dans l’organisme.

Caractéristiques :

  • Nommée acide ascorbique
  • Se trouve dans les fruits et légumes
  • Permet de lutter contre l’oxydation et de renforcer le système immunitaire
  • Agit en synergie avec la vitamine E, le sélénium et le zinc
  • favorise l’absorption du fer

VITAMINE C : RÔLES ET BIENFAITS DANS L’ORGANISME

Antioxydante

La vitamine C a un pouvoir antioxydant puissant. Combinée à d’autres molécules antioxydantes telles que la vitamine E, le sélénium ou encore le zinc, elle permet de neutraliser l’excès de radicaux libres dans l’organisme. De ce fait, l’acide ascorbique protège du stress oxydatif et du vieillissement cellulaire prématuré. Cette action antioxydante est également impliqué dans la protection de l’organisme contre certaines pathologies telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires ou encore les pathologies neurodégénératives.

Fonctionnement du cerveau

Augmentant la production de neurotransmetteurs dans le cerveau : dopamine, noradrénaline, adrénaline, etc. Elle est donc essentielle au bon fonctionnement cérébral. De plus, sa capacité à lutter contre l’oxydation pourrait être utile pour freiner la survenue de pathologies neuro dégénératives (Alzheimer, parkinson…).

Système immunitaire

La concentration de vitamine C est particulièrement importante dans les cellules assurant les défenses immunitaires de l’organisme. En effet, elle participe à la production et au renouvellement des globules blancs et permet ainsi à l’organisme de se défendre contre les agents pathogènes internes et externes. Elle protége des infections virales et bactériennes.

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Pour l’assimiler de façon naturelle :

Puisqu’elle n’est pas synthétisée par l’organisme, elle doit être apportée par l’alimentation. Consommez sous forme de jus, cuisinez crus ou cuit.

Présente dans les fruits : les agrumes, l’acérola, kiwi, fraises, cassis, goyave

Présente dans les légumes : les crucifères, persil, navet, épinards, poivrons, le brocoli.

Attention, c’est la plus fragile de toutes les vitamines : elle est sensible à l’eau, à la chaleur à l’air et à la lumière. Par exemple à température ambiante, la moitié de la teneur en vitamine C d’un aliment peut être perdue en 24 heures. Les modes de cuisson et de stockage doivent donc être adaptés de manière à limiter les pertes. Consommez un jus de fruit frais dans les quinze minutes pour conserver le maximum de nutriments.

Eviter l’acide ascorbique sous forme chimique : Malgré son élimination dans les urines, un excès peut entraîner des maux d’estomac, des diarrhées, des calculs rénaux et favoriser une hémochromatose. Il est donc préférable de l’assimiler de façon naturelle dans l’alimentation.

Manger deux kiwis au cours de la journée suffit amplement à couvrir vos besoins quotidiens. N’oubliez pas les jus de et salades de fruits à déguster dès le petit déjeuner, en particulier s’ils sont aux agrumes (orange, pamplemousse, clémentine) dont la saison se situe en hiver.

La présence d’aliments riches en vitamine C au cours d’un repas augmente l’assimilation du fer contenu dans ce même repas. Il est intéressant de combiner sources de vitamine C et de fer.

Les besoins en vitamine C sont accrus dans certaines situations pathologiques (fracture, infections, traitement anticancéreux) mais également en fonction des modes de vie (activité physique intense, consommation excessive d’alcool, tabagisme).

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Attention les plantes de Noël sont toxiques..

Plantes de Noël et risques d’intoxication ?

Mais malgré leurs atouts décoratifs les Plantes de Noël peuvent se révéler toxiques. La vigilance est de mise si on ne veut pas gâcher les fêtes.

 Le gui

On a coutume de s’embrasser sous le gui pour célébrer le Nouvel An (même si, distanciation sociale oblige, cette année pourrait faire exception). Cela peut aussi réserver de mauvaises surprises. Car, les baies sont très toxiques.

Le risque ? En cas d’ingestion chez l’enfant, d’une grande quantité de baies, des troubles cardiaques ou neurologiques peuvent être observés !

Les centres antipoison reçoivent chaque année, environ 40 appels concernant des enfants de moins de 15 ans qui ont porté à la bouche des feuilles ou baies de gui !

Et pour les animaux domestiques surtout pour le chat, le risque est mortel. Les symptômes les plus courants d’une intoxication: salivation excessive, dilatation des pupillesdémarche anormale ou encore des convulsions. En cas d’ingestion massive cela peut engendrer la mort de l’animal.

 Le houx

C’est la plante de Noël ! Que ce soit pour décorer la maison, personnaliser des cadeaux de Noël ou même décorer ses gâteaux de fêtes ! Les feuilles sont toxiques. Mais leur aspect piquant est dissuasif. Le danger : les petites baies rouges toxiques qui attirent les enfants qu’ils portent à la bouche.

Le risque ? Si avaler 1 ou 2 baies n’est pas dramatiques (troubles digestifs mineurs), l’ingestion d’un nombre plus important de baies peut avoir de plus lourdes conséquences.

Même risque pour les animaux qui peuvent présenter des sérieux troubles digestifs et neurologiques, et une salivation importante. Mais le taux de mortalité est très faible.

Les Centres antipoison reçoivent entre 60 et 80 appels pour des enfants de moins de 15 ans qui ont accidentellement mis à la bouche des baies de houx.

 Le poinsettia

L’étoile de Noël est particulièrement populaire pendant les fêtes de fin d’année. Pour les enfants, l’ingestion de feuilles poinsettia est plutôt sans grande gravité. A condition qu’il ne soit question que d’une seule feuille mâchouillée par mégarde.

Pour les animaux de compagnie, cela entrainerait une irritation de la gueule et l’estomac. Ils peuvent subir de plus lourdes conséquences dans le cas de l’ingestion de plus grandes quantités de tiges et feuilles de poinsettia.

L’hellébore

Les roses de Noël sont aussi jolies que toxiques. Qu’il s’agisse de sa fleur, sa tige ou ses feuilles. Si votre chien ou votre chat la mordille, elle peut entraîner, des vomissements, des diarrhées, des troubles nerveux, de l’excitation, voire des paralysies...

Une fois de plus, c’est l’Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (Anses) qui tire la sonnette d’alarme : l’ingestion de baies ou de feuilles peut s’avérer toxique ! Et causer des symptômes plus ou moins graves en fonction des quantités consommées.

Que faire en cas d’ingestion de baies ou plantes toxiques ?

En cas d’ingestion, l’Anses recommande de se rapprocher des organismes dédiés en cas d’empoisonnement. 

  •  Pour un enfant, on lui nettoie la bouche avec un linge mouillé et on évite de le faire boire ! On appelle le centre antipoison rapidement.
  •  Pour un animal, on contacte un centre antipoison vétérinaire.

Dans un cas comme dans l’autre, on prend une photo de la plante, voire de son étiquette, pour faciliter l’identification de la plante ingérée par les spécialistes.

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Sucre? Difficile de résister, risque d’addiction?

Difficile de résister à l’envie de sucre, de chocolat, d’une glace ou de bonbons. Beaucoup d’occasions de manger du sucre : attention de pas tomber dans l’addiction…

Le Sucre : rituel de consolation

Ces pulsions peuvent venir d’un conditionnement psychologique. Elles s’observent chez les personnes qui, enfant, ont été habituées à recevoir un aliment sucré en guise de compensation ou de récompense. Comme un bonbon après une piqûre chez le médecin, ou un gâteau pour une bonne note. Ce comportement relève peut-être de la compulsion. Le sucre active le circuit de la récompense, qui conduit au plaisir et à l’envie d’en consommer davantage. Si le sucre est essentiel au bon fonctionnement de l’organisme, il peut avoir des effets néfastes comme la prise de poids et la formation de caries.

Le sucre remonte le moral :

Lorsque vous consommez du sucre, vous vous sentez bien grâce à un procédé chimique qui se met en place. Le pancréas sécrète de l’insuline, qui permet de faire pénétrer le sucre dans les cellules. Cela va favoriser la pénétration du L-tryptophane au niveau du cerveau. Cet acide aminé se change en sérotonine. Or la sérotonine est un messager chimique, appelé neurotransmetteur : Véritable “Hormone du Bonheur”

Cela va crée une sensation de bien-être. En d’autres termes, quand vous avez un petit moral, votre organisme tente de le faire remonter en fabricant plus de sérotonine. Il lui faut donc du sucre ! Et consommer des aliments sucrés fait que vous vous sentez mieux. Malheureusement, cela ne dure pas longtemps. Mais, cela crée ainsi un phénomène d’addiction au sucre.

L’envie de sucre est souvent associée à une faible activité physique. L’activité physique déclenche en effet la sécrétion d’hormones de bien-être, comme le fait le sucre.

Dans ce cas, on essaie de trouver une alternative qui compensera l’effet plaisir du sucre : sport, jardin, activité manuelle, méditation, ….

Attention, si la dépendance est trop importante, il y a risque d’addiction.

Si vous souffrez d’addiction au sucreconsulter et faites vous aider :

Pensez à une thérapie énergétique comme le magnétisme qui vous libérera de ces tentations en vous aidant à gérer vos émotions.

Et la naturopathie pour vous aider à rééquilibrer votre alimentation, en adoptant une hygiène alimentaire, pour retrouver forme et énergie.

 

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