Dépassés par le quotidien ? Retrouver la paix intérieure
Stopper cette course effrénée qui met « hors de soi » afin de se recentrer. Changer son rythme pour réduire le stress. Prendre du temps pour soi, être présent, se poser, vivre intensément le moment présent.
Prendre le temps de méditer :
La pratique régulière de la méditation peut nous aider à retrouver l’équilibre. Sans spiritualité particulière, accessible, elle s’adresse à tout le monde. Le quotidien a tendance à nous happer. On est en mode “pilotage automatique” : on exécute les tâches que l’on doit faire, on boucle un dossier, on prépare le dîner… tout ça dans un stress permanent. On arrête d de se projeter : Comment vais-je pourvoir rendre ce dossier ? Surmonter mon licenciement ? Ma rupture ?.
On se pose, on respire, et on apprivoise le stress.
La méditation permet d’être connecté à notre ressenti.
Ceux qui la pratiquent disent que cela fait une énorme différence dans le quotidien
Quand l’utiliser ?
Quand on n’en peut plus, débordé, avec la sensation de courir tout le temps : elle permet de souffler, de se poser, de prendre du recul sur la situation.
Lors des accidents de la vie (deuil, rupture, maladie grave…) elle apaise la souffrance, redonne l’énergie d’avancer.
Indispensable dans une démarche de développement personnel. Elle aide à s’épanouir et à trouver sa voie.
Quels sont les différentes façons de pratiquer la méditation ?
La pratique formelle :
L’élément essentiel de la méditation est la régularité. C’est quelque chose que l’on cultive, afin que cela devienne un automatisme. S’accorder de préférence 20 à 30 minutes par jour, si on peut. Sinon, même 5 minutes permettent de faire un retour quotidien sur soi.
La pratique informelle :
Pendant une activité, on s’efforce d’être présent, dans le moment. Cela peut être aussi banal que lorsque l’on rédige un mail. Au lieu de penser à autre chose, on se concentre sur ce que l’on écrit.
Comment faire sa première séance de méditation ?
Le matin est souvent plus propice à la méditation, impactant la qualité de la journée. Mais on peut décider de méditer après avoir déposé les enfants à l’école, à la pause déjeuner , dans un parc, ou le soir avant de s’endormir pour un sommeil plus réparateur.
Dans un endroit calme, bien veiller à ne pas être dérangé : débranchez le téléphone, le portable en veille. Assis ou allongé confortablement.
Une fois bien installé : on déconnecte son mental, on respire calmement. Et on se concentre sur les sensations du souffle dans les narines et l’abdomen. Dès que l’on se sent distrait, on recentre son attention sur le rythme de la respiration.
On fait ça pendant 5 minutes. Puis, au fur et à mesure, on augmente le temps (10, 15, 20 minutes)
Quand on se sent prêt, on se concentre plus sur les sensations du corps et moins sur la respiration. On pratique la visualisation en utilisant des images mentales : On agite une boule à neige et on attend que la neige se dépose. On imagine un gros chêne et on s’enracine avec lui. On se douche sous une cascade tropicale et on ressent l’eau couler sur notre corps.